Si la photo ne fait pas très envie, c’est parce que le koji n’est pas un aliment mais un ingrédient intermédiaire, servant à la fabrication du miso, du saké, et autres (quelques idées ci-dessous). Il s’agit de riz ensemencé avec un champignon microscopique appelé Aspergillus oryzae. Cet article va vous apprendre à faire du koji de riz à partir de… koji de riz. Mais vous en aurez beaucoup plus qu’au départ !

Le mofongo est un célèbre plat portoricain à base de bananes plantain vertes qui sont d’abord frites puis écrasées dans un pilon avec de l’ail, de l’huile d’olive et/ou du beurre, et souvent des grattons (de la couenne de porc frite). Il peut être servi seul, avec un peu de bouillon de poulet dans lequel on trempe les morceaux, ou en accompagnement de crevettes en sauce, de poisson ou de viande.

Les champurradas sont des biscuits à la texture légère et délicieusement croustillante, qui sont vendus dans toutes les boulangeries au Guatemala. Ils ne sont pas trop sucrés ce qui les rend populaires comme petit déjeuner ou goûter, accompagnés d’un bon café ou d’un thé.

Une recette pour découvrir le chuño ! Une pomme de terre lyophilisée, originaire de la partie bolivienne et péruvienne de la cordillère des Andes, qui permet aux populations locales de subsister toute l’année (plus d’info ci-dessous). Cette recette toute simple l’accommode avec un peu d’oignon, de tomate, des oeufs brouillés et du « queso fresco », du fromage de vache frais.

Ce dessert asiatique original est fruité, rafraîchissant, et contient peu de sucre ajouté. Il se compose d’une sauce crémeuse à base de mangue et de lait de coco, dans laquelle on vient ajouter des billes de tapioca, des dés de mangue, et un peu de pamplemousse ou de pomélo, dont l’amertume vient faire opposition à la douceur de la mangue. Le concept aurait été inventé dans les années 80 par Lei Garden, une chaîne de restaurants hongkongaise, pour leur implantation à Singapour.

Du tempeh coupé en petits morceaux est d’abord frit puis revenu dans un mélange d’épices, de piment, et de sauce soja sucrée. Pour les amateurs de sucré-salé et de plats pimentés, c’est une recette qui coche toutes les cases. Et laissez-moi vous dire que ce n’est pas mauvais du tout du tout ! Après le tempe mendoan et le tempe goreng, voici une nouvelle façon de cuisiner le tempeh courante en Indonésie.

Si vous aimez les lasagnes mais que vous n’avez jamais le temps ou le courage d’en faire, essayez les « baked ziti », un gratin de pâtes à la sauce tomate, au fromage et, en option, à la viande hachée (mais la version végétarienne est une tuerie aussi !) Le genre de recette facile et rapide qui est un classique de la cuisine familiale aux États-Unis.

Tout comme les migas espagnoles sont une façon d’utiliser les restes de pain, ces migas mexicaines utilisent des restes de… tortilla ! On les découpe ou déchire en morceaux avant de les faire revenir dans un peu d’huile jusqu’à ce qu’elles soient bien croustillantes. On ajoute ensuite un peu d’oignon et des oeufs battus. Trois ingrédients, ultra simple, ultra rapide, et tellement bon !

Le tempeh est une source de protéines végétales à base de soja fermenté. Ceux qui n’aiment pas le tofu apprécieront sa texture beaucoup plus ferme et son léger goût de noisette. En Indonésie, d’où il est originaire, on le consomme souvent frit, après l’avoir mis brièvement dans une marinade légère. C’est cette version, plus simple que le tempe mendoan (beignets de tempeh), que je vous propose aujourd’hui. Avec une sauce épicée (sambal) et une salade ou des légumes, c’est la garantie d’un repas savoureux !

Des petites pains frits, fourrés au curry japonais. Si cette description ne vous met pas l’eau à la bouche, je ne peux rien faire pour vous ! Faut-il encore présenter le curry japonais ? C’est la recette la plus populaire du blog, et vous pouvez maintenant l’emporter partout, avec ces petits pains fourrés qui seront parfaits pour un pique-nique par exemple.