Le pol roti est un pain plat à la noix de coco, dans lequel on ajoute souvent de l’oignon et du piment vert. Pas de pétrissage, pas de pousse, bref pas besoin d’être très doué en cuisine… il faut juste être doté d’un peu de patience, car la pâte doit idéalement reposer au moins 8h. Cela permet à la farine de bien s’hydrater et rendrait également les pains plus digestes.

Les « klepon », aussi connus sous le joli nom de « onde onde », sont des boules de riz gluant aromatisées au pandan, fourrées de sucre de palme et roulées dans de la noix de coco. À la cuisson, le sucre fond ce qui donne ce surprenant intérieur coulant. Ces petites douceurs dépaysantes sont faciles et ludiques à réaliser.

Le nom signifie littéralement haricots rouges (maharagwe) au lait de coco (nazi), et ça résume bien ce délicieux plat vegan. On a beau se trouver en Afrique, les influences indiennes sont indéniables dans cette recette. On se croirait presque en train de faire un rajma masala, avec la différence cruciale du lait de coco qui change complètement le goût évidemment. Si vous avez des boîtes de haricots rouges dont vous ne savez pas quoi faire, ça vous fait deux recettes à tester/comparer, et je vous garantis qu’elles ne vous décevront pas.

Le « clapshot » (un nom un peu bizarre à l’origine mystérieuse) est une purée de pommes de terre et de rutabaga, souvent servie en accompagnement de haggis (panse de brebis farcie), autre plat emblématique écossais. Cette combinaison est particulièrement populaire pour la soirée de Burns Night, le 25 janvier, dédiée au poète écossais Robert Burns et qui fait un peu office de fête nationale écossaise.

Ce tofu « braisé » est cuit deux fois : il est d’abord recouvert de fécule et d’oeuf et doré dans un peu d’huile, puis on le cuit à nouveau dans une délicieuse sauce salée et épicée. Ne me dites pas que le résultat ne fait pas envie ! Servi avec du riz blanc à volonté, c’est une tuerie. Un jour un grand sage a dit : « le tofu, au début tu regrettes que ça n’ait pas de goût, après tu regrettes que ça en ait ».

Prenez un hachis Parmentier, remplacez la pomme de terre par de la banane plantain, et vous avez grosso modo un pastelón, un plat populaire en république dominicaine. Comme on utilise des bananes mûres, le résultat est clairement sucré-salé, un peu comme le gratin de banane jaune. Si vous cherchez à renouveller un peu votre menu vous ne serez-pas déçus ! Il existe aussi une version porto-ricaine de ce plat, qui est un peu différente.

Les imomochi sont des galettes de pomme de terre fondantes à l’intérieur et croustillantes à l’extérieur, originaires de l’île d’Hokkaido, tout au nord du Japon, où le climat se prête particulièrement à la culture de ce tubercule. L’île produit à elle seule 80% de la récolte nationale ! Ces galettes peuvent être nature, mais je vous propose ici une version ultra gourmande fourrée au fromage, qu’on retrouve souvent au menu des izakayas pour accompagner une bière par exemple.

La mujadara est un plat étonnamment savoureux malgré sa simplicité. C’est une combinaison de lentilles, de riz ou de boulgour comme ici, et d’oignons frits dans de l’huile d’olive. Si je ne l’avais pas cuisiné moi-même, j’aurais juré qu’on y avait mis du bouillon de poulet, alors qu’il n’en est rien ! On retrouve ce plat en Syrie mais aussi au Liban, en Israël, en Iraq… Plat du pauvre à l’origine, il a une place important dans la cuisine du Moyen-Orient depuis le moyen âge.

Préparez ces biscuits aux noix pour le nouvel an lunaire afin de garantir le bonheur de votre famille pour l’année à venir ! Vous verrez, ces petits gâteaux peu sucrés, à la texture mi-croustillante, mi-friable (attention les miettes !) sont étrangement addictifs.

Ce curry de haricots verts au lait de coco est aussi simple à réaliser qu’il est délicieux. Il est prêt en seulement 20 minutes et nécessite relativement peu d’ingrédients, même si certains ne vous seront peut-être pas familiers si vous n’avez pas l’habitude de la cuisine du sous-continent indien (qu’attendez-vous pour vous lancer ?) Je pense en particulier aux feuilles de curry, un ingrédient que j’adore. Leur goût léger mais caractéristique est difficilement remplaçable, donc mieux vaut les omettre si on n’en a pas.