La traduction littérale serait « nouilles à l’eau sucrée ». Ce sont de grosses nouilles de blé style udon, mais encore plus épaisses, et idéalement faites maison, dans une sauce extrêmement aromatique et légèrement sucrée qui est juste délicieuse. C’est une recette de la région du Sichuan, on y trouve donc un peu de piment et de poivre de Sichuan, mais le niveau d’épices reste modéré (et ajustable).

C’est un gâteau incroyablement facile à réaliser, à faire absolument pendant la saison des prunes et quetsches, c’est-à-dire de la fin de l’été au milieu de l’automne. Difficile de ne pas en reprendre ! « Pflaumenkuchen » signifie simplement « gâteau aux prunes », et il n’y a pas forcément une version canonique, mais plein de variantes. La plupart du temps, on trouve quand même ce système à trois couches (comme dans la szarlotka polonaise) : une base, des fruits, et un topping croustillant (streusel).

C’est le plat national de l’Ethiopie ! Pour expliquer le doro wat, on dit généralement que c’est du poulet en sauce épicée. Mais pour moi l’ingrédient principal c’est plutôt les oignons ! Typiquement, pour un poulet entier, il faut 2 à 2,5 kg d’oignons rouges. C’est à la quantité d’oignon qu’on reconnaît les recettes de doro wat authentiques ! Et aussi au temps de cuisson : un bon doro wat prend du temps, il faut bien une heure et demi à deux heures sur le feu.

Personne ne peut résister à un curry au lait de coco, surtout quand c’est une recette authentique du Sri Lanka, les experts en la matière. En plus, celle-ci est assez simple et rapide (et on sait bien que ce n’est pas toujours le cas sur ce blog), alors il ne faut pas passer à côté. La recette est proche du curry de haricots verts, mais plus simple car en mode « one pot » (on ne salit qu’une casserole).

Ce sont des oeufs brouillés un peu différents, pleins de bonnes choses comme des tomates, des poivrons, du piment, du curry en poudre… Mais rien de très compliqué, ce plat est en effet souvent préparé pour le petit déjeuner. On le sert couramment avec de l’igname bouillie (comme ici) ou bien du pain, de la banane plantain bouillie ou frite, ou encore du riz.

Ce sont de gros pancakes dorés à la perfection et fourrés aux cacahuètes… et au maïs ! Enfin, le maïs n’est pas obligatoire, mais c’est très typique. Après, on peut aussi laisser libre cours à son imagination, comme dans cette version avec 8 parfums (Nutella, Oreo, cheddar… !) Tout chaud sorti de la poêle c’est vraiment délicieux. Le maïs ne fait pas forcément l’unanimité mais moi j’aime bien !

Pas grand chose à voir avec un kébab ! Ni même avec les sultans ? Franchement, je ne sais pas trop pourquoi ce plat s’appelle comme ça, mais tant que c’est bon, on ne va pas se plaindre. Je vous explique le concept : on fait mijoter du poulet avec des petits légumes, puis on emballe ça dans des feuilles de « yufka » (pâte filo turque). On aligne plusieurs de ces ballotins dans un plat, et on recouvre de béchamel et de fromage avant de faire gratiner au four.

Dans la cuisine éthiopienne, il y a des plats très épicés, comme le misir wot, et d’autres qui ne le sont pas du tout, comme le kik alicha ici présent. On voit rarement l’un sans l’autre, c’est le yin et le yang, ils se complètent par leurs différences… (peut-être qu’on a tous quelque chose à en apprendre ??) Et quand je dis « épicé », je ne parle pas que du côté piquant, mais des épices en général.

Des tranches d’aubergines fondantes sont servies avec une sauce à la tomate épicée, et du yaourt à l’ail et à la menthe. Cet humble plat végétarien est l’une des recettes les plus populaires en Afghanistan ! On comprend vite pourquoi, c’est gourmand (les aubergines sont frites mais chut !) et simplement délicieux servi avec du pain, en entrée, en accompagnement, ou même en plat principal. Les aubergines sont connues pour absorber beaucoup d’huile… Une vraie éponge !

C’est une recette insolite et terriblement addictive en 5 ingrédients seulement : des marshmallows, du beurre, du lait en poudre, des cranberries et… des biscuits apéritifs salés ! Je ne sais pas ce qui est passé par la tête de la personne qui a inventé cette recette, mais le résultat est tellement bon que ça a pris. Le nom est composé de trois éléments : le caractère « 雪 » qui signifie neige, fait référence à la couleur blanche.